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Mers et marins

L'Amiral Ronarc'h

Huile et acrylique sur toile


Conçu pour affronter les conditions extrêmes des régions polaires, L'Astrolabe est équipé d'une coque renforcée pour briser la glace et d'une technologie avancée pour naviguer en toute sécurité dans les eaux glacées. Il joue un rôle crucial dans la livraison de fournitures vitales aux stations de recherche isolées et dans le soutien logistique des missions scientifiques en Antarctique. À bord, une équipe dévouée veille au bon déroulement des opérations, assurant que les chercheurs puissent mener à bien leurs études sur des sujets allant de la climatologie à la biologie marine. 
En plus de ses capacités logistiques, il est également utilisé pour des missions de surveillance maritime, contribuant à la protection de la biodiversité et à la lutte contre la pêche illégale dans ces eaux reculées. L'équipage, entraîné à affronter des environnements hostiles, joue un rôle essentiel dans le succès des expéditions polaires françaises.
Chaque voyage offre une aventure unique, mêlant découverte scientifique et exploration des paysages majestueux de l'Antarctique.

L'Astrolabe

Huile sur toile

Sauveteurs dans la tempête

Huile sur papier toilé

Mille ans à te chercher

Technique mixte sur toile

C'était il y a cinquante ans. Phi quitte le Mékong argenté, un ciel aux mille couleurs.
Une embarcation surchargée, son bébé dans les bras, un point minuscule dans l’océan.
Elle prie.
L’espoir d’autre chose pour eux...
Elle recommencera tout ailleurs ; il commencera tout ailleurs.

Sa mémoire change imperceptiblement son passé, son intention créé un nouvel avenir, se densifie à chaque vague surmontée.
Ainsi va la loi de la nature.
Chiffre après chiffre, obstacle après obstacle, patiemment et inéluctablement, se construit la divine harmonie du Nombre d’Or - Phi. 
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Les vagues tumultueuses évoquent les défis rencontrés en mer, tandis que les nombres dorés rappellent la beauté et l'harmonie cachées dans le chaos. Ces nombres sont précisément les termes de la "suite de Fibonacci" dont le ratio, au fur et à mesure, converge vers le nombre d’or (appelé aussi "Phi"), le nombre de l’harmonie de la nature. 
Cette composition artistique, riche en émotions et en significations, invite le spectateur à réfléchir à la force du courage humain face à l'adversité ; l'accumulation patiente et infinie d'actions qui façonne un destin.

(c) Pauline Tribou

To Phi

Technique mixte sur toile

La beauté éblouissante et la joie de glisser sur ses eaux nous feraient presque oublier que les Romains avaient érigé le dieu de la mer, Poséidon, en divinité redoutable. 
Puissant, indomptable, célèbre autant pour ses tempêtes furieuses que ses doux vents favorables, Poséidon est peut-être le plus humain des habitants de l’Olympe. 
D’ailleurs, quel marin ne s’est pas senti dieu, voguant vent en poupe, fouetté par les flots fendus par la vitesse, ignorant la brûlure du soleil salé ? 

(c) Pauline Tribou

Poséidon

Technique mixte sur toile

Lorsque je contemple la mer, j’entends les échos du passé. Chaque goutte d’eau murmure son éternité.  Marins de tous les océans, votre mémoire habite chaque goutte salée qui vous a vus naviguer. 
Car nous sommes océaniques, nés dans l’océan il y a fort longtemps, comme ces gouttes qui se séparent pour mieux se réunir dans le spectaculaire déferlement des vagues, le temps d’une courte vie.

(c) Pauline Tribou

Océanique

Technique mixte sur toile

Tunnel of Love

Technique mixte sur toile

Il y a près de deux siècles, le célèbre peintre Japonais Hokusai avait compris que la mer était fractale : le même motif se répète à toutes les échelles.
Pauline Tribou a voulu saisir cette magie qui fait que chaque vague recèle les informations de l’océan, chaque goutte d’écume celles de la vague, et chaque molécule qui compose notre être, l’histoire même de la Terre.

(c) Pauline Tribou

Tempête

Technique mixte sur toile

Quart de Nuit

Huile et acrylique sur toile

Quarantièmes Rugissants

Huile et acrylique sur toile

Cinquantièmes Hurlants

Huile et acrylique sur toile

Charles Trepel

Huile sur toile

Stay Ready

Huile sur toile

Game Over

Huile sur toile

Tout oppose ces deux éléments : d’un côté la neige tendre et silencieuse, qui amortit les formes et les bruits, qui enchante le ciel d’un éclat magique sans que nous  n’ayons besoin d’y travailler. 
De l’autre le chantier, hérissé de grues saillantes, et d’échafaudages anguleux vibrant au rythme des coups résonnant sur la tôle. Les chalumeaux, dans la sueur et l’effort du labeur, découpent l’acier sous la lumière stroboscopique bleutée de la soudure à l’arc.
Dans cette rencontre, c’est finalement l’accumulation des milliers de doux flocons délicats qui l’emportera.

(c) Pauline Tribou

Neige sur le Chantier

Technique mixte sur toile

Si j’étais un atome d’acier de sous-marin, je serais émerveillé par chaque plongée sous la banquise. Le plancton polaire iridescent, la lumière boréale filtrée par les profondeurs arctiques, le ciel opalescent à travers la couche de glace...  beauté éphémère qui renaît chaque année depuis la nuit des temps.

(c) Pauline Tribou

Sous la Banquise

Technique mixte sur toile

Neptune

Technique mixte sur toile

Dans les profondeurs extrêmes des dorsales océaniques,  là où même la lumière s’efface, les scientifiques ont fait une étrange découverte. Dans ce noir liquide, sous la pression infernale,  là où la froideur glaciale des profondeurs marines s'unit à la chaleur ardente des “fumeurs noirs” de ces volcans des abysses, la vie foisonne. 
Le plus incroyable est que ces organismes ne seraient pas descendus à ces profondeurs depuis la surface. Ils proviendraient des entrailles mêmes de la Terre. 
Cette révélation remet en question l'hypothèse selon laquelle la vie aurait émergé d'une météorite. L’origine de la vie est-elle tellurique, est-elle cosmique, ou serait-elle le fruit d'une danse entre ces deux puissances ?

(c) Pauline Tribou

Tellurique

Technique mixte sur toile

Cap Horn

Aquarelle sur papier

Hublot

Huile sur toile

Grand Bleu

Huile sur toile

Sur Neptune

Technique mixte sur toile

Cette œuvre évoque la précision et la beauté des formules qui guident les marins à travers les océans. Les lignes et les courbes des équations mathématiques s'entrelacent sur la toile, symbolisant les trajectoires invisibles tracées par les vaisseaux. 
Chaque formule est réellement une formule utilisée pour la navigation sur le géoïde. 
À l’heure où l’électronique et les satellites dirigent nombre de routes, les marins apprennent encore à utiliser ces formules complexes, un écho aux défis rencontrés par les premiers navigateurs.
Chaque équation peut être comprise comme une variable d’un système où chaque élément contribue à l'ensemble de l'œuvre. L'observateur est invité à se perdre dans ce labyrinthe artistique, où l'art et la science de la navigation fusionnent pour créer une harmonie visuelle.

Navigation

Acrylique et encre sur toile

Le Grand Bleu

Huile sur toile

Ombres

Technique mixte sur toile

Brise de Mer

Technique mixte sur toile

Outremer

Aquarelle sur papier

Le Pouliguen

Huile sur toile

Le Jardin

Huile sur toile

Vague à l'Âme

Huile et acrylique sur toile

Akaï Tsubasa” signifie “Les Ailes Rouges” en Japonais. 
Cette œuvre s’inspire de l’histoire de l’aviateur André Japy et de son appareil mythique : le Caudron-Renault Simoun. Un avion qui, au milieu des années trente, aux mains d’illustres aviateurs civils et militaires, vola aux quatre coins du monde. 
Très médiatisé au Japon et en France, le vol Paris – Tokyo d’André Japy, répondant au défi de relier les deux capitales en moins de cent heures, fut exceptionnel pour de nombreuses raisons: 
• Il préféra réaliser ce raid seul - les autres tentatives se firent en équipage de deux pilotes. 
• Les Soviétiques ayant fermé l’espace aérien de l’URSS en 1935, il suivit la route Sud qui passe par la Syrie, l’Inde et Saïgon, ce qui allongeait la distance de 5000 km. 
• Même si son vol s’est interrompu à proximité de Fukuoka, il a réussi à relier le Japon en 75h.
• Le plus extraordinaire, c’est la belle histoire de son sauvetage par les villageois de Séfuri - Kanzaki et l’amitié qui l’a uni aux deux jeunes pilotes japonais Iinuma et Tsukagoshi qui, avec son aide, réussiront la première liaison aérienne, le vol Kamikaze, entre Tokyo et Londres, via Paris, en 1937 par la route Sud. 
André Japy regagne Paris en avril 1937, accueilli en héros. En 1938, il reçoit la médaille Louis Blériot de la Fédération aéronautique internationale pour l’ensemble de ses exploits. 
Le projet Akai Tsubasa commémore cette tentative solo d’André Japy en 1936. 
Constitué d’un comité japonais et de l’association française Renaissance du Caudron Simoun, le pilier central de ce projet est de réaliser le dernier tronçon de mille kilomètres en volant de Séfuri-Kanzaki vers Tokyo au moyen d’un des deux derniers Caudron-Simoun restant au monde, identique à celui d’André Japy, et restauré à Pontoise dans un hangar de l’aéroport. 
L’artiste, également pilote et ingénieure, a été extrêmement inspirée par cette aventure humaine, mémorielle, technique et aéronautique.
L’association française lui a ouvert grand les portes du hangar de restauration. Les bénévoles passionnés ne comptent pas leurs heures pour faire revivre cet instant d’histoire aéronautique entre la France et le Japon.
Les choix artistiques de l’artiste se sont appuyés sur son expérience de pilote sur des machines assez petites, peu équipées au niveau de l’instrumentation, et parfois très anciennes, lui permettant de mieux s’immerger et réaliser la performance admirable d’André Japy.
Le nuage sombre et l’intensité des couleurs font écho à l’intensité que l’on peut ressentir face à un paysage splendide mais dangereux, lorsqu’on est très petit et très seul dans le ciel.
Beaucoup de pilotes d’aviation légère pourront témoigner de ces situations vécues. Ce type de vol, ce n’est pas habiter dans une carte postale pour quelques heures ; c’est une vigilance permanente, c’est certains survols où l’on sait que la panne ne serait pas récupérable ; c’est voir un cumulonimbus noir et menaçant au milieu d’un ciel magnifique et se demander quel tour va nous jouer la météo. C’est sentir l’avion secoué comme jamais dès que l’on s’en approche. C’est décider, à chaque instant, si l’on continue ou si l’on renonce.

Akaï Tsubasa

Aquarelle sur papier

Emmène-moi ! (Soleil Levant)

Technique mixte sur toile

L'Estran

Huile sur toile

Côte d'Opale

Digital Painting

Mur de frappe (projet)

Fresque

Brise du soir

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