Japon : et de trois !
Déjà trois expositions personnelles au Japon cette année !
Après avoir été choisie par l’Ambassade de France à Tokyo pour exposer d’avril à juin à Yokosuka, l’artiste Pauline Sibille-Tribou a été mise à l’honneur à Tokyo le 10 juillet dernier.
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Commandées par la fondation EIP et sa présidente Mme Kawahara, deux œuvres de trois mètres chacune ont été dévoilées au public pour la première fois à l’occasion de la prestigieuse cérémonie « Biggest Painting in the World » à l’Hôtel Impérial de Tokyo, en présence de Mohammed Yunus, Prix Nobel de la Paix, Son Excellence M. l’Ambassadeur de France au Japon, plusieurs membres du parlement japonais et d’autres personnalités internationales de premier plan.
Ces œuvres s’inspirent du défi que se sont lancés Madame Kawahara et Mohammed Yunus en faveur des enfants depuis 1996, et dont la prochaine étape aura lieu à Paris en 2024 à l’occasion des Jeux Olympiques.
Les œuvres sont désormais exposées dans le prestigieux hall d’accueil de l’Ambassade de France à Tokyo.
Olympic Heartbeat
Œuvre originale Pauline Tribou – Acrylique sur toile, 200 x 300 cm
Réalisée à la fois dans l’atelier parisien de l’artiste et à Tokyo, l’œuvre Olympic Heartbeat illustre le passage de flambeau entre les jeux olympiques de Tokyo 2020 et de Paris 2024.
Au départ de cette œuvre, il y a une rencontre. Une rencontre entre l’artiste et Mme la ministre Seiko Hashimoto, également athlète olympique, et présidente du comité d’organisation des JO de Tokyo en 2020. Lorsque cette dernière décrit à l’artiste le parcours du combattant mené pour réussir à maintenir les Jeux malgré la crise sanitaire, au Japon où le plus haut niveau d’exigence est la norme, une image vient à l’esprit de l’artiste. Celle d’un battement de cœur immense, que Mme Hashimoto a réussi à ne pas interrompre. Dans Olympic Heartbeat, les couleurs olympiques forment des cercles concentriques, et non des anneaux distincts, symbolisant l’effort de convergence qui a été nécessaire, à l’heure ou presque tous les rassemblements sportifs et culturels étaient annulés.
Et pour réussir ce défi, c’est bien chacun, individuellement, par son action à son niveau, et sous le leadership de la ministre, qui a permis de maintenir les Jeux. Chacune des actions est symbolisée par une forme blanche à l’aspect organique, et, toutes ensembles, solidairement, elle permettent de reconstituer à nouveaux les anneaux olympiques
L’œuvre Olympic Heartbeat, a été inaugurée à l’Hôtel Impérial de Tokyo le 10 juillet dernier et est désormais exposée à Tokyo, dans la prestigieuse Ambassade de France au Japon.
At the Edge
Collage, acrylique et métal sur toile, 200 x 300 cm
Œuvre originale Pauline Tribou, inaugurée à l’Hôtel Impérial de Tokyo
L’œuvre At the Edge a été commencée à Paris dans l’atelier de l’artiste, et terminée à Tokyo, comme une illustration du lien qui unit la France et le Japon. Cette œuvre est le fruit de plusieurs rencontres entre l’artiste des associations japonaises s’occupant d’enfants au développement non standard. Leurs peintures ont été utilisées par l’artiste comme matière première. 247 morceaux ont ainsi été ajustés et assemblés pour donner vie à une immense forêt. On peut voir les signatures des enfants sur l’œuvre.
Les associations de couleurs inattendues choisies par ces enfants non standards reflètent la richesse de leur créativité, exempte de la peur du regard de l’autre, ou du désir de plaire aux professeurs ou aux parents, aspects fondamentaux de l’art.
Regarder cette œuvre c’est ressentir la joie sans retenue que ces enfants ont éprouvée en réalisant leurs peintures. Dans la composition finale, l’artiste a choisi de représenter une forêt où paradoxalement les arbres sont volontairement absents. Seuls les interstices entre les arbres sont représentés, les faisant apparaitre en creux. C’est une allégorie de notre regard sur ces enfants que nous cachons ou ignorons, alors qu’ils font partie de la diversité et de la richesse du monde.
Je souhaitais parler de ces enfants hors-norme autrement que par ce qui leur manque ; mais plutôt par ce qu’ils font mieux que les personnes « standard » .
Par exemple leur créativité, leur absence de peur du regard d’autrui, la capacité à éprouver de la joie ou de s’émerveiller sans retenue. Au-delà du bonheur qu’ils ont éprouvé pendant qu’ils peignaient, l’œuvre démontre ces capacités avec évidence.
C’est pourquoi la signature de chaque enfant figure sur l’œuvre, œuvre révélée pour la première fois à l’Hôtel Impérial de Tokyo à l’occasion de la prestigieuse cérémonie de lancement du projet « La plus grande peinture du monde – Paris 2024 » organisée par la fondation Earth Identity Project. »
Après avoir été choisie par l’Ambassade de France à Tokyo pour exposer d’avril à juin à Yokosuka, l’artiste Pauline Sibille-Tribou a été mise à l’honneur à Tokyo le 10 juillet dernier.
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Commandées par la fondation EIP et sa présidente Mme Kawahara, deux œuvres de trois mètres chacune ont été dévoilées au public pour la première fois à l’occasion de la prestigieuse cérémonie « Biggest Painting in the World » à l’Hôtel Impérial de Tokyo, en présence de Mohammed Yunus, Prix Nobel de la Paix, Son Excellence M. l’Ambassadeur de France au Japon, plusieurs membres du parlement japonais et d’autres personnalités internationales de premier plan.
Ces œuvres s’inspirent du défi que se sont lancés Madame Kawahara et Mohammed Yunus en faveur des enfants depuis 1996, et dont la prochaine étape aura lieu à Paris en 2024 à l’occasion des Jeux Olympiques.
Les œuvres sont désormais exposées dans le prestigieux hall d’accueil de l’Ambassade de France à Tokyo.
Musée national - Tokorozawa
Le Musée National japonais de l’Aviation a la particularité d’être à Tokorozawa, un lieu riche de l’histoire de la coopération aéronautique et industrielle franco-japonaise (mission Faure, raid Japy…). C’est ici qu’ont eu lieu les tout premiers vols au Japon !
L’ Armée de l’air et de l’espace, ainsi que le Groupe Safran , ont souhaité rendre hommage à cette coopération à l’occasion du premier défilé aérien d’avions français au Japon de l’histoire, le 28 juillet dernier.
Ils ont sélectionné les plus récentes peintures de l’artiste française Pauline Sibille Tribou, dont l’univers est peuplé d’avions, de mathématiques, et de passion pour l’industrie de haute technologie, pour illustrer cet événement.